Bienvenue au royaume des mes errances, en vous souhaitant d'être touché.

dimanche 19 septembre 2010

Maman, mon épouse et moi

*



Rien, ne résonne de l'écho, que tu as mis en sourdine.
Pas plus que trois fois, dans le vent, ou plus, que du tout au tout.
Encore des rires, trébuchants par les alcolves vombrissantes, de glauque.
Sans fond, les nimbes fumantes de la boucle, tendue dans le temps de plus tard.
Une miroitante en reflet sur les biens de demain ignorés,
Un aspirant pour ce rang de lois, plutôt qu'une seule enfance.
La reprise de la colle, pour le trébuchant qui vous tourne le dos,
Mais pas de bon choix à faire, omis les égareux de trop.
Et moins de directive pour plus de perspective.
C'est juste être une femme en furie au repaire,
Ou un homme platonique par l'enfer.
Passe trombone, et lèche les rebords, pour ne pas bruler les rixes,
Reste à l'enfumoir, pour deux heures, en pensant à trouvailler des flûtons,
Longe ta plume, par la faim entreprend, de l'écharde à tes doigts abîmé,
Laisse les flots, monter dans ton ventre de l'aime, que je te susurre à la fin.
Oui tu laisse, tu penses tes entreprendres à l'avance et tu as bien raison.
En sifflant mes chaussures, nous prime la route vers devant.
Pour ne pas décevoir l'intendante qui garde les clefs du confiturier.
Ha vous dirais je Maman, que j'ai grandis maintenant.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire